De Dissertation Sur La Textvictor hugo lettre а lord palmerston actes et paroles ii, 1875 . fortement impressionn , enfant, par la vision d rsquo un condamn conduit l rsquo chafaud sur une place de burgos puis, l rsquo adolescence, par les pr paratifs du bourreau dressant la guillotine en place de gr ve, victor hugo fut toute sa vie un adversaire r solu de la peine de mort. En exil guernesey, il assiste en 1854 l'ex cution de john charles tapner, condamn mort pour assassinat, et fait part aussit t de son indignation lord palmerston, alors secr taire l'int rieur. marine terrace, 11 f vrier 1854 d s le point du jour une multitude immense fourmillait aux abords de la ge le. A huit heures du matin, la foule encombrant les rues voisines, deux cents spectateurs privil gi s tant dans le jardin, l'homme a paru la br che. Il avait le front haut et le pas ferme il tait p le le cercle rouge de l'insomnie entourait ses yeux. Essay About The Importance of Reading NewspaperUn bonnet de coton blanc profond ment enfonc sur la t te et relev sur le front, dit un t moin oculaire, v tu de la redingote brune qu'il portait aux d bats, et chauss de vieilles pantoufles , il a fait le tour d'une partie du jardin dans une all e expr s. Les bordiers, le sh rif, le lieutenant sh rif, le procureur de la reine, le greffier et le sergent de la reine l'entouraient. Pourtant, selon l'usage anglais, pendant que les mains taient crois es par les liens sur la poitrine, une corde rattachait les coudes derri re le dos. A c t de lui, le chapelain bouwerie, qui avait refus de signer la demande en gr ce, pleurait. Tapner s'est mis lui m me sous le n oelig ud coulant et y a pass son cou, et, comme il avait les mains peu attach es, voyant que le bourreau, tout gar , s'y prenait mal, il l'a aid. Puis, comme s'il pressentait ce qui allait suivre, dit le m me t moin, il a dit. Tapner tant ainsi debout dans le n oelig ud coulant, les pieds sur la trappe, le bourreau a rabattu le bonnet sur son visage, et l'on n'a plus vu de cette face p le qu'une bouche qui priait. Apr s quelques secondes, le temps de se retourner, l'homme des hautes oelig uvres a press le ressort de la trappe. Un trou s'est fait sous le condamn , il y est tomb brusquement, la corde s'est tendue, le corps a tourn , on a cru l'homme mort. On pensa, dit le t moin, que tapner avait t tu raide par la rupture de la moelle pini re. Il tait tomb de quatre pieds de haut, et de tout son poids, et c' tait un homme de haute taille et le t moin ajoute. Tout coup, l'homme, pas encore cadavre et d j spectre, a remu les jambes se sont lev es et abaiss es l'une apr s l'autre comme si elles essayaient de monter des marches dans le vide, ce qu'on entrevoyait de la face est devenu horrible, les mains, presque d li es, s' loignaient et se rapprochaient comme pour demander assistance, dit le t moin. Dans ces convulsions, la corde s'est mise osciller, les coudes du mis rable ont heurt le bord de la trappe, les mains s'y sont cramponn es, le genou droit s'y est appuy , le corps s'est soulev , et le pendu s'est pench sur la foule. La seconde fois il s'est dress un pied de hauteur la corde a t un moment l che. Le bourreau, qui tait descendu, est remont , et a fait, je cite toujours le t moin oculaire, l cher prise au patient. La corde avait d vi elle tait sous le menton le bourreau l'a remise sous l'oreille. Puis cet infortun , condamn lui m me, s'est pr cipit dans le trou o pendait tapner, lui a treint les deux genoux et s'est suspendu ses pieds. La corde s'est balanc e un moment, portant le patient et le bourreau, le crime et la loi. Le bourreau a fait de tapner un cadavre la cl mence a refait de fouquet un homme. Entre le moment o tapner est tomb dans le trou de la trappe et l rsquo instant o le bourreau, ne sentant plus de fr missement, lui a l ch les pieds, il s rsquo est coul douze minutes. Qu rsquo on calcule combien cela fait de temps, si quelqu rsquo un sait quelle horloge se comptent les minutes de l rsquo agonie. Quelques amis de la peine de mort disent qu rsquo on aurait pu avoir cette strangulation pour vingt cinq livres sterling . Quand on y pense, ce n rsquo est pas trop cher il y a beaucoup de d tails dans cette chose l. On voit l rsquo hiver, londres, dans de certains quartiers, des groupes d rsquo tres pelotonn s dans les angles des rues, au coin de portes, passant ainsi les jours et les nuits, mouill s, affam s, glac s, sans abri, sans v tements et sans chaussures, sous le givre et sous la pluie. Ces tres sont des vieillards, des enfants et des femmes presque tous irlandais comme vous, monsieur. Contre l rsquo hiver ils ont la rue, contre la neige ils ont la nudit , contre la faim ils ont le tas d rsquo ordures voisin. C rsquo est sur ces indigences l que le budget pr l ve les cinquante mille francs donn s au bourreau rooks. Avec ces cinquante mille francs, on ferait vivre pendant un an cent de ces familles. Ceux qui croient que le bourreau rooks a commis quelque maladresse paraissent tre dans l rsquo erreur. Un nomm tawel a t pendu r cemment par le bourreau de londres, qu rsquo une relation que j rsquo ai sous les yeux qualifie ainsi. Le ma tre des ex cuteurs, celui qui s rsquo est acquis une c l brit sans rivale dans sa peu enviable profession. On aurait tort de dire qu rsquo aucune pr caution n rsquo avait t prise pour tapner. Le jeudi 9, quelques z l s de la peine capitale avaient visit la potence d j toute pr te dans le jardin. S rsquo y connaissant, ils avaient remarqu que la corde tait grosse comme le pouce et le n oelig ud coulant gros comme le poing . Avis avait t donn au procureur royal, lequel avait fait remplacer la grosse corde par une corde fine. L rsquo heure coul e, on l rsquo a d tach et le soir, huit heures, on l rsquo a enterr dans le cimeti re dit des trangers, c t du supplici de 1830, b asse. Elle s rsquo est vanouie, deux fois en lui disant adieu le second vanouissement a dur une demi heure on l rsquo a crue morte. Un fait que je ne puis vous taire, c rsquo est l rsquo unanimit de la presse locale sur ce point. Mdash il n rsquo y aura plus d rsquo ex cution mort dans ce pays, l rsquo chafaud n rsquo y sera plus tol r. J rsquo ai peur que, sans le vouloir, vous n rsquo ayez aboli la peine de mort guernesey. Je livre en outre vos r flexions ce passage d rsquo une lettre que m rsquo crit un des principaux habitants de l rsquo le. L rsquo indignation tait au comble, et si tous avaient pu voir ce qui se passait sous le gibet, quelque chose de s rieux serait arriv , on aurait t ch de sauver celui qu rsquo on torturait. Vous avez mis la main dans les t n bres sur le spectre et vous en avez fait votre fianc e. Quand nous pronon ons ces mots, progr s, r volution, libert , humanit , vous souriez, homme malheureux, et vous nous montrez la nuit o nous sommes et o vous tes. Le texte le plus cйlиbre de hugo concernant la peine de mort est le dernier jour d'un condamnй. Vous trouverez ce document en deux parties extrait 1 extrait 2 dans les pages relatives а la rйfutation et au rйquisitoire. dissertation en philosophie dissertation sur la raison en philosophie..dissertation sur la raison en philosophie. Its difficult to cope many times as you need until the paper with cheap term paper. Dissertation sur la raison students are searching: write my paper for me more than ever before. There are also more companies answering their plea to: write an essay for me and some are much better than others. Students should consider the following points when looking for essay writing services to write essay for me. This is one of the main concerns of students, as they do not have a lot of cash to spend freely. A company should offer their services at reasonable prices, but this should be compared to the quality of their services.
© Copyright 2013 - 2016 - www.writehomestudio.com.
All rights reserved. |